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 Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec...

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Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec... Empty
MessageSujet: Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec...   Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec... Icon_minitime1Jeu 31 Mar - 10:45






Ryan Pendragon
Médecin




• 146ans
• En couple
• Nécromancien / Gardien
• Ecossais
• Infirmerie
• Pyrokinésie, Guérison, Téléportation
• Incapable de soigner les "morts" (vampires & démons par exemple)
• Préfèrerai mourir que finir entre les mains des humains
 Famille & Animal
Pour moi, la notion de famille est simple et compliquée à la fois. Simple car à mes yeux, ma véritable famille c'est Dim et Anya Romanov, le vampire qui m'a accueilli dans sa famille et celle avec qui je veux passer le restant de mes jours. Compliqué car il faut y rajouter ma mère, Amy Pendragon, et ce qui se prend pour mon père, William Rock.

Un "animal de compagnie"? On m'a dit que Nessie comptait pas, donc votons pour Mistigris, un chat persan taché tigré de 7ans qui squatte la baraque trop souvent au goût de Dim. J'crois que c'est pour ça que je l'aime, ce chat, il ennuie le vampire.


 Caractère
Déterminé, obstiné et particulièrement tête de mule sont les termes qui me caractérisent le mieux. Bien que je sache aisément déterminer qu'une situation est perdue d'avance, quand je sens que je peux faire quelque chose pour y remédier, je n'hésite pas longtemps, au mépris des risques, des menaces et autres mises en garde.
Ceux que je laisse entrer dans le cercle réduit de mes amis me disent également nostalgique, rêveur, souvent perdu dans la lune, et j'ai une manie assez fréquente des impressions de déjà-vu me laissant songeur, voire hésitant. Une personne, un lieu, une chose que je pense connaitre de mon passé peut me faire réfléchir des jours entiers jusqu'à ce que je retrouve d'où cette impression de déjà-vu me vient. C'est que quelque part, au milieu de l'assurance presque arrogante dont je sais faire preuve, il m'arrive de douter, de mon passé, mon présent et mon futur, principalement à cause de l'absence de mon père et de l'abandon de ma mère.



 Histoire
L’Écosse de 1869, c'est là où je suis né. Dans un de ces châteaux hantés faisant baver les fans de science-fiction, à deux pas ou presque du Loch Ness, là où vit Nessie. Nessie, il est sympa comme tout, mais je m'égare. Ou pas, en fait. Parce qu'il est vraiment sympa Nessie, quand on sait s'y prendre un peu avec lui. Puis, je crois qu'il aime bien les gamins, pour peu qu'on ne s'enfuie pas en courant en le voyant. Parce qu'il est aussi super sensible le Nessie. Suffit d'y faire peur une fois, et pouf, vous le voyez plus... Le Loch Ness, les bois alentours, et les souterrains et passages secrets du château, c'est ce qui a rythmé mon enfance. Après tout, ce n'est pas le monde qu'il y avait dans les environs, et par conséquent, je n'avais guère d'amis avec qui grandir à part le gros monstre ayant décrété que jouer les chats était amusant. Quand à d'éventuels frères ou sœurs? Parait que faut avoir un père pour ça, ça marche mieux. Mais comme ma mère n'a jamais su seulement se rappeler de qui il était... Ah oui, j'ai zappé ce détail. Dans le genre étrange on rajoute une mère ayant une capacité inouïe à zapper complètement tout ce qui a pu arriver dans sa vie quand elle passe de vie à trépas momentané...Sans déconner, comme ça ça peut faire rire, mais le vivre en vrai c'est loin d'être aussi amusant... C'est même carrément flippant en fait.
Enfin bref, j'avais à peine vingt ans quand la mort me l'a enlevée et j'ai un temps tenté de me rappeler à sa mémoire, usant même du don de guérison qu'elle m'a appris à contrôler depuis que je le possède, sans aucun succès. En ayant eu ras le bol de vivre avec une parfaite étrangère, j'ai rassemblé mes affaires dans un sac et je suis parti, passant d'abord l'été à bivouaquer sur les rives du Loch, passant mes journées avec la grosse bête qui y vit, avec qui j'ai su développer suffisamment mon lien pour parvenir à une sorte de communication entre nous. Oh non, je n'aurai pas la prétention de dire être capable de parler avec cette créature, disons plutôt que nous nous connaissions depuis suffisamment longtemps pour que je sache analyser ses réactions, un peu aidé par les faibles capacités de télépathie de mon ami.

Finalement, je suis parti. L'hiver arrivant, je ne tenait pas à mourir congelé, et sans un regard en arrière, sachant que si j'en tentais un, je ne parviendrais pas à m'en aller, je quittais pour la première fois ma région natale, puis le pays, comme mes pas m'entrainèrent jusqu'en Angleterre.

1898. L'Angleterre, un pays que je n'aime pas et que je n'ai jamais su aimer. Bien loin de l'Ecosse et ses légendes, bien trop conventionnée de logique pour me plaire. Un pays où il me fallut apprendre à tenir mes pouvoirs secrets plus que de raison, alors que jusqu'à présent, je n'avais pas vraiment eu à m'en inquiéter. Et même si j'avais été aperçu, j'aurai tout aussi bien pu parler de farfadets. On m'aurait pris pour un dingue et l'affaire été faite. Non, dans ce pays où il pleut à peu près 24h/24 7j/7, si j'avais été pris, j'aurai fini au mieux exécuté, au pire disséqué vivant ... alors non, je n'avais pas intérêt à me montrer, le moins du monde. Et bien sur, pour arranger mes affaires, c'est le moment que choisit ma pyrokinésie pour apparaître et me faire tourner en bourrique. Un incendie dans la forêt de Sherwood? Désolé Robin, c'était moi, tu m'en veux pas trop dit?
Plusieurs années ont ainsi passé pour moi durant lesquelles je parcourais l'ile de Grande Bretagne, sans jamais revenir au nord cependant, sachant que si je laissais mon cœur rejoindre l'Ecosse je ne saurais faire marche arrière. Le Pays de Galles, c'est sympa à visiter aussi, même si on en a vite fait le tour.

4aout1914. La guerre est déclarée contre l'Allemagne, et s'y engager est autant un moyen de récupérer quelques deniers que de voir du pays, et, accessoirement, servir son pays. Enfin, dans mon cas, c'est la possibilité de traverser la mer et de rendre utiles les pouvoirs de médication que je possède depuis bien longtemps qui me pousse à m'engager. Les règles sont simples. S'il serait humainement possible de faire quelque chose, j'agis, mais si un blessé se trouve dans un état suffisamment grave pour que seul un miracle le sauve, devant témoins, je dois me résoudre à abandonner. Offrir mes capacités à la vue de tous n'est pas dans le contrat. Tuer ne l'est pas non plus, et pourtant il m'a fallu m'y résoudre. On dit que la guerre fait les hommes, je répond qu'elle les brise. Jamais je n'ai su regarder un homme en face tandis que mon sabre ou plus tard ma baïonnette s’enfonçait dans sa chair, mais je ne serais pas non plus resté statique à attendre que la mort me prenne. L'homme est la seule espèce capable de se tuer elle-même par la volonté de ses dirigeants, et en cela la plus cruelle que la terre n'ai à supporter.

1916. Manquer de chance ou de talent, je n'ai pas encore élucidé la question. Toujours est-il que pour ne pas réussir à éviter cette pointe, fallait être un éléphant empêtré dans des sables mouvants dans une nuit noire... Et bah, croyez-le ou non, j'ai réussi à ne pas l'éviter. Ou c'est cette saloperie qui ne m'a pas évité. Second mystère de la journée. Le troisième, qu'il m'a bien fallu résoudre à un moment ou un autre, c'est comment j'ai pu survivre suite à cette blessure. C'est pas que cette foutue lame avait des dents à rebrousse fil, mais un peu quand même, ça fait des dégâts dans les organes internes ce genre de truc là... Enfin, une hémorragie digne de ce nom et deux mois d'hospitalisation plus tard, j'étais sur pied. Retourner au front? Certainement pas. Après deux années, j'étais bien content de profiter de la réforme que l'on m'offrait. Le rapatriement en Angleterre, un peu moins. Enfin, au moins là-bas, les canons ne tiraient pas...

1939. Quand y en a plus, y en a encore. Comme si une guerre n'avait pas suffit, il a fallu qu'une seconde arrive. Et la mobilisation d'avoir lieu une fois encore. Difficile de prétendre être vétéran de la première guerre avec mes 25 ou 30ans d'age physique, aussi, j'ai eu droit à la seconde dose. Enfin, cette fois, je ne compte pas me retrouver les armes à la main. Médecin de guerre me va parfaitement sans avoir à chercher plus loin. Trois années sur le front, suffisamment en arrière pour éviter la plupart des coups, suffisamment peu pour ne pas être affecté par les horreurs de la guerre.
Une explosion dans une zone où se trouvaient certains de nos hommes, suivie de tirs de balles, bruits de bataille et cris de douleurs. Et nous y voilà partis, offrant plus de victimes encore à nos ennemis. Face à moi, la tête d'un homme tombe à terre, séparée de son corps d'un coup d'épée expert, et l'instant d'après, la dite-lame vient se poser contre mon cou, prête à m'offrir un aller simple vers l'au-delà. Cependant, le coup ne vient pas, et mes yeux bleus se plantent dans les yeux noisette de mon adversaire, tandis que la lame que je tiens en main se pointe vers son ventre. Si je dois mourir, je compte l'emmener dans la tombe avec moi. Après quelques instants à se jauger du regard, je sens le contact du métal s'éloigner de ma peau avant de la voir rengainer son épée, et je laisse la mienne descendre jusqu'à pointer terre. A peine une seconde plus tard, cependant, sa main enserre ma gorge et je m'attends à ce qu'elle ne m'étrangle d'une force suffisante pour ne pas être humaine, et seule ma fierté me permet de ne lui offrir qu'un gémissement de douleur et mieux, de rester debout.
Si je te recroise, je te tue, humain.
C'est sur ces mots qu'elle m'abandonne, et malgré que je tente de me remettre de mes émotions, une légère pointe d'ironie me prend quand elle me traite d'humain. Humain? Je ne le suis pas vraiment, du haut de mes presque 75ans, mais je me garderais bien de la reprendre.

Cette fois-ci, il m'aura fallu attendre 1945 et la fin de la guerre pour quitter le front, quittant par la même cette France où je ne comptais pas risquer de croiser les proches de ceux de mes amis que j'ai perdu au combat. Quand on est sur de mourir, on ne devrais pas s'attacher, mais passer près de cinq années avec les mêmes visages chaque jour, dans l'atmosphère des combats, sans s'attacher à qui que ce soit, ce n'est à mon gout pas possible. Ou bien il ne faut pas avoir de cœur. Mais chaque lien durable que l'on parvient à créer est un petit espoir dans les ténèbres, d’autant plus si cet espoir perdure combat après combat... la difficulté survient lorsque cet espoir disparait. C'est pourquoi je décide de partir vers l'est, et rejoindre la Belgique, puis le Danemark.

Je me met au vert plusieurs années, vivant de mes économies et de quelques petits boulots trouvés sur mon chemin, ne m'installant nulle part plus de quelques semaines. L'évasion était la clef de ma survie mentale après les traumatismes que j'avais vécu au cours de la guerre. En trente-cinq ans, j'ai voyagé à travers toute l'Europe puis l'Amérique et la lointaine Australie, utilisant ma téléportation, pourtant incertaine quand je ne connais pas visuellement ma destination, lorsque je me lassais suffisamment d'une région pour ne pas vouloir marcher deux mois pour la quitter. Comme si j'allais m'acheter une voiture ou utiliser les transports en commun quand j'ai mon propre moyen de transport parfaitement gratuit et bien plus sur que ces avions qui passent leurs journées à se crasher! Du paysage j'en ai vu, des femmes j'en ai connu, des hommes aussi, et ma maudite route a recroisé celle de celle qui aurait pu me tuer sur le front à plusieurs reprises. J'appris sa nature comme elle appris la mienne, mais toujours nous repartions chacun de son coté, clairement pas prêts à nous engager dans quoi que ce soit.

Durant trois décennies, j'ai voyagé aux quatre coins de l'Europe, encore et toujours, recroisant régulièrement cette vampire pour laquelle mon cœur a flanché. Jusqu'en 1980, où je la retrouvais aux prises avec un groupe de chasseurs de vampires quelque part dans les rues obscures de Oxford. Une téléportation de ma part et nous étions sortis d'affaire. Du moins en apparence. La flèche en argent trempée dans l'aconit tue-loup plantée dans son épaule droite en disait tout autre chose. Et s'il y a une chose que j'ai découvert à cet instant précis, c'est que mon pouvoir de médication est totalement inefficace sur les vampires. J'apprendrais plus tard qu'il est totalement inefficace sur les non-morts en général. Et si la flèche en argent fut rapidement retirée, l'aconit eut le temps de s'immiscer dans son organisme, l'affaiblissant considérablement. Devant l'urgence, je me décidai à rejoindre la seule personne en qui je savais qu'elle avait toute confiance. Son oncle, Dmitri.

Et si le vampire a d'abord essayé de me saigner vif, pensant à tord que j'étais responsable de l'état d'Anya, et refusant d'entendre raison. Du moins au départ. Parce que nous sommes civilisés - à peu près - et se battre l'un contre l'autre n'aurait en rien aidé Anya. Alors nous l'avons soignée comme nous l'avons pu, moi de mes connaissances médicales, lui, de ses dons de vampire. Près de deux semaines se sont écoulées avant qu'elle n'en soit totalement remise, et dès lors, je fis partie intégrante de la famille. Si mon cœur battant était un répulsif naturel pour Dmitri, ma dévotion pour sa nièce a été notre point d'ancrage. Il avait compris que là où elle irait, j'irais avec elle. Aussi j'allais avec eux, n'ayant de toute façon pas d'autre famille que celle que nous composions, et n'en voulant pas d'autre.

Et comme dans toute famille, il y a des hauts et des bas, des harmonies et des heurts. Et quand votre fiancée est un vampire, ces heurts se règlent au prix du sang. Et quand vous trichez dans vos fiançailles, ça met rarement la dame de bonne humeur. Alors, non seulement mon compagnon d'un soir n'est plus de ce monde pour en parler, mais en plus, j'en ai gentiment bavé. Et c'était sans compter sur ma mauvaise conscience, qui m'a fait accepter les coups sans y répondre. De toute façon, je n'y aurai pas répondu, frapper les femmes, c'est hors de ma nature, même si elles frappent en premier, et qu'elles ont largement la force de me résister. Mais sur le moment, me défendre, je n'ai pas su faire. Et j'ai subi, coup après coup, morsure après morsure, la laissant déverser sa rage et sa colère contre moi.

Pour le coup, c'est chez Dmitri que je me suis réfugié. Sa nièce m'avait peut-être réglé mes comptes, mais ce n'était pas pour autant que je cesserais de le voir lui, ce père que je n'ai jamais eu. Il a veillé sur moi, a pansé mes blessures alors même que je le voyais lutter contre sa nature, qui l'incitait à me déchirer la gorge de ses crocs. J'ai passé plusieurs années en Ecosse, renouant avec mes origines pendant que, dans mon dos, Dim s'occupait d'affaires qui ne le concernait pas, à savoir, ma famille. Ma famille, c'était lui, et je n'avais aucunement besoin qu'il m'offre un père ne m'ayant jamais aimé ou une mère ne m'ayant pas assez aimé pour ne pas m'abandonner ... et pourtant, bon gré mal gré, me voici en France de nouveau, avec sur les bras une mère qui se rappelle enfin de moi, un père qui veut s'installer dans ma vie contre ma volonté, une fiancée que j'aime plus que tout mais à laquelle je ne sais rester fidèle, et un beau-père surprotecteur qui tente de réparer ma vie d'une façon qui ne me plait guère. Entre deux, me revoilà médecin de guerre, ou presque, toubib à la Magic Academy, c'est du pareil au même...



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Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec... Empty
MessageSujet: Re: Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec...   Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec... Icon_minitime1Jeu 31 Mar - 18:13

même pas en rêve ducon! Nessie en animal de compagnie? et pk pas godzilla pendant que t'y es? vire moi ça fissa! xD
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Ryan Pendragon ╦ Fuir la mort et vivre avec...

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