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 Lenwë Idhilion ~ I've eyes everywhere

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AuteurMessage

Garde Tyrannique
Lenwë Idhilion
Lenwë Idhilion

Messages : 12
Or : 15699
Réputation : 0
Date d'inscription : 13/11/2015


Feuille de personnage
En couple?: veuf
Animal: Aranwë, un chveal cremello d'environ 180ans
Age: 196ans

Lenwë Idhilion ~ I've eyes everywhere Empty
MessageSujet: Lenwë Idhilion ~ I've eyes everywhere   Lenwë Idhilion ~ I've eyes everywhere Icon_minitime1Mer 27 Juil - 14:22






Lenwë Idhilion
Garde




• Age : 196ans
• En couple? Veuf, célibataire
• Race : Elfe
• Nationalité : Français
• Groupe : Gardes de l'école
• Pouvoirs : Contrôle des plantes
• Faiblesses : Associable à ses heures, Diabétique
• Peurs : les abeilles
 Famille & Animal
La famille chez les elfes c'est censé être simple. Seulement chez moi, c'est on ne peut plus compliqué. Si on veut rester simple, il y a mes parents, Denetor et Luthien Idhilion, mon frère, Elladan, ma belle-soeur Juliet et mon neveu, Kyllan.
Mais c'est très raccourci. Si on veut être précis, nous avons :
- Denetor Idhilion, mon père
- Luthien Idhilion, ma mère
- Elladan Abraxas, mon frère adoptif
- Juliet Evergreen, ma belle-soeur
- Kyllan Abraxas, mon neveu
- Adélaïde Abraxas, ma grosso-modo belle-mère, la mère de mon frère adoptif quoi
- Nathan Abraxas & co, et là on part dans les oncles et tantes, trop compliqué
- Sans oublier Sonia Dubois, ma nièce, même si c'est pour l'heure un secret de polichinelle.

Pour compagnon, je possède un cheval cremello nommé Aranwë, qui est ma fidèle monture depuis mes tous premiers pas en équitation. Et oui, du haut de ses 180ans, il a toujours la fougue de ses trois ans. Que voulez-vous, quand on a une bonne monture, on la garde!


 Caractère
Si on interroge les élèves de l'école, le mot qui revient pour qualifier Lenwë est "connard". Y a pas à dire, il ne fait aucun effort pour se faire bien voir des élèves, tant en offrant des sanctions à tour de bras, ou, son tour préféré, en attendant des heures dans l'ombre juste pour pouvoir attraper les élèves ayant décidé de faire le mur ce soir là. Et oui, pour leur malheur, il semble avoir un sixième sens pour repérer leurs envies de sorties nocturnes.
Cependant, être mal-vu ne le dérange absolument pas, bien au contraire, comme il tient tout particulièrement à sa tranquillité et ne se dérange pas trop pour aboyer presque littéralement sur un gosse qu'il aurait dans les pieds.

Il sait cependant être totalement différent auprès de ses proches, et s'il n'a de cesse de faire mine d'être agacé par son frère, il sait parfois être pire que lui et leurs chamailleries font parfois du bruit. Hyper-protecteur envers sa famille, il est complètement fou de son neveu malgré sa réticence naturelle à approcher les enfants, même s'il a du mal à supporter sa belle-sœur et n’hésite jamais à le lui faire savoir.

Excellent guerrier, il donnerait sa vie pour ces étudiants qu'il fait mine de tant détester, et n'est jamais bien loin de son arc ou de son épée, sachant toujours se mettre entre l'un ou l'autre des élèves qu'il a sous sa garde et n'importe quel danger qui se présente devant lui.

Il garde sous silence la perte de sa famille, comme un terrible secret qu'il serait le seul en droit de connaitre. C'est pour lui un sujet totalement tabou, et seul Elladan parvient à en parler avec lui lorsqu'il sent que l'elfe en ressent le besoin. S'attacher, il ne s'en sent absolument plus capable, et passer pour un associable complet lui permet justement d'éviter qu'on l'apprécie assez pour s'attacher à lui et lui demander la réciproque. Rares sont les exceptions à cette règle qu'il s'est lui même dicté, et chacune d'elles est un cauchemar de plus pour lui.



 Histoire
Je suis né en l'an 1821, au sein de la communauté elfique installée sur les terres de la Magic Academy. J'ai pour parents Denetor et Luthien Idhilion, et pour frère ainé Elladan. Bien qu'il ne soit pas davantage elfe que mon frère de sang, il n'y a jamais eu aucune ambiguïté sur ce sujet. Malgré nos chamailleries et les querelles qui nous opposent parfois, nous sommes frères, envers et contre tout.
J'ai donc grandi au cœur de cette communauté dans laquelle j'ai tôt fait mes armes. Le maniement de l'arc et de l'épée ont eu pour moi bien moins de mystère que des études plus spirituelles, bien que j'ai toujours su éprouver une grande passion pour la lecture, apportée par ma mère. Là où mon père m'apprit tout ce que je devais savoir pour survivre à ce monde, elle préféra m'apprendre à éviter les problèmes. Ce qui aurait sans doute pu se faire facilement si je n'avais pas eu le frère que j'ai. Si je ne suis pas particulièrement attiré par les ennuis, on peut tout à fait dire que lui l'était pour deux. Pour trois même. M'entrainer à sa suite ne lui suffisait pas, vu que Aryellë n'était jamais bien loin non plus. Aryellë, c'est la petite sœur que j'ai jamais eu, et sur qui j'ai toujours tenté de veiller malgré sa capacité à se retrouver dans les problèmes de mon frère. Il en fallait bien un pour les empêcher de se tuer par accident, non?

J'ai intégré la garde à l'age de 20ans, suivant les traces de mon père. A cette époque, Elladan et moi étions distants, mon ainé ayant rejeté notre coté de sa famille pour lui préférer notre dragon d'oncle, Nathan. Certes, Nathan et moi ne partageons pas davantage de sang que j'en partage avec Ella', mais la famille de mon frère et la mienne, et je sais que la réciproque est vraie. De plus, Nathan et mon père furent frères d'armes en leur temps, et cela n'en rajoute que davantage dans les liens entre nos deux familles. Brefouille, je n'avais plus le soutien jadis indéfectible de mon frère, et mon père a accueilli comme une bonne nouvelle le fait que je souhaite le suivre, alors, je l'ai suivi, bien que ma mère tenta de s'y opposer. Je suis proche de ma mère, je l'ai toujours été, mais entre la perspective de servir une noble cause ou imaginer la vie à travers les pages d'un livre, le choix fut rapide.

Ma rencontre avec Aranwë? Notre monde est rempli de portes permettant le passage d'un monde à l'autre, et tout aussi plein de créatures en tous genres pour les franchir. Les migrations des chevaux issus de la Forêt Elfique sont rares, mais un spectacle pour les yeux. On dit que ces migrations sont l'occasion pour chaque elfe de trouver SA monture, celle avec laquelle il liera son cœur à jamais. Et si je n'y croyais pas vraiment, un coup d’œil sur cet étalon gringalet, à la robe plus "blanc sale" que belle, a suffit pour que je sache que c'était lui. De son coté, l'apprivoisement de son elfe a été plus compliqué, et j'ai passé des jours et des nuits dehors à suivre le troupeau, assez proche pour qu'il s'habitue à ma présence, et assez loin pour ne pas le presser dans sa décision. Un soir, exténué, je me suis assoupi sans même le remarquer. Pour réveil, un gros nez rose et crème me poussant pour attraper l'herbe sur laquelle j'étais allongé. L'instant suivant, j'étais sur son dos, et si, près de deux siècles plus tard, il nous arrive encore d'avoir des désaccords (Quel cavalier ne s'est jamais retrouvé devant une rivière avec un cheval qui, non, aujourd'hui, ne compte pas se tremper les pieds?), il est toujours de bon conseil et sait me pardonner mes erreurs. Il n'est pas très grand, et sa robe est toujours aussi "blanc sale", n'en déplaise à Elladan et son envie de le passer à l'eau de Javel pour le décolorer, mais, s'il m'a été donné de monter d'autres chevaux dans ma vie, je reviens toujours vers celui-ci.

Après trois décennies à servir mon père et la garde de l'école, quelle ne fut pas ma surprise d'y voir enrôlé mon frère. Franchement, Elladan était, de mon avis, le moins motivé et le moins utile à y envoyer, n'en déplaise à l'affection que je lui porte. Cependant, la raison de sa nomination à ce poste était quand à elle bien moins surprenante. A force d'en inventer des blettes et des pas mures, il fallait bien que notre père lui tombe sur le poil. Normal. Et pour ma part, j'ai plus qu'apprécié avoir de nouveau l'occasion de passer un peu de temps avec lui. De quoi animer mes soirées, même si je tiens suffisamment de mon père pour savoir rester professionnel en toutes circonstances. Et pour tenir la vis de mon idiot de frère, aussi. D'autres s'y sont cassé les dents. Moi, j'ai toujours su trouver la limite entre la douce folie qui l'anime et cette capacité surprenante à bien faire son boulot, pour peu qu'on lui en donne la motivation.

Durant près de 50ans, nous avons réappris à être frères, inséparables aussi bien au travail qu'en dehors. D'une complicité que seule une certaine rivalité entre nous mettait parfois à mal. Imaginez que j'ai réussi à faire tenir un arc à Elladan, uniquement par désir de me prouver qu'il serait plus doué que moi avec. Et je ne vous parle même pas de la fois où il a voulu monter mon cheval. Sincèrement, Elladan à cheval, c'est à mourir de rire, même pour un elfe!
Ce que nous n'avions pas vu venir, par contre, c'est à quel point cette rivalité au départ bon enfant devint tout simplement malsaine. C'est Isil qui nous l'a montré. Isil, c'était... Isil, tout simplement. L'elfe qui accompagne mes plus belles nuits aussi bien que mes pires cauchemars. La gamine à peine plus jeune que nous sur laquelle l'aube de notre premier siècle nous faisait porter un regard neuf, comme si nous voyions le soleil se lever pour la première fois. Elladan et moi nous sommes fait du mal, à ce moment là. Les frères avaient laissé place aux rivaux, et tous les coups étaient bons. Je regrette cette époque où nous nous sommes perdus.

Mais dans le même temps, je ne regrette rien. Car nous avons été heureux, Isil et moi. Vraiment heureux. Aussi bien durant les 37années qui précédèrent la naissance de notre fils que durant les 13suivantes. Et je dois avouer avoir, dans mon bonheur, négligé mon frère, et accepté son départ sans chercher à en savoir davantage. Oh bien sur, j'ai été ravi qu'il fasse partie intégrante de la vie de Althann lorsqu'il nous est revenu, même s'il était bien différent du frère qui m'avait quitté quatre décennies plus tôt. Comme s'il n'était pas à sa place parmi nous. Et je crains que chaque effort que nous faisions vers lui ne faisait qu'empirer son état. Mais quand vous tenez à quelqu'un, il vous arrive d'être idiot en voulant bien faire. Si je savais que veiller sur une famille est difficile, veiller sur deux l'est encore plus. Bien que concernant mon frère, ce fut ma mère qui passa le plus d'heures à s'en charger.

On dit qu'il faut profiter du bonheur pendant qu'il dure, car on ne peut que le regretter quand il est passé. Sans doute n'en ai-je pas assez profité. Sans doute est-ce ce que chacun se dit après avoir perdu un être cher. L'Ecole a subi de nombreux conflits, et plus d'une tentative d'invasion dont nous ne sommes pas tous revenus vivants. Mais c'était la première fois que je prenais vraiment conscience du prix de cette guerre. J'ai perdu ma femme et mon fils, et mon monde s'est effondré. Et je ne voulais qu'une chose. Qu'on me foute la paix. Les elfes sont censés être infaillibles, et imperturbables face au temps qui passe. Mais pour ma part, depuis lors, je laisse juste le temps passer sur moi sans m'intéresser à ce qui s'y passe. Je comprend ce que ressentait mon frère quand il demandait simplement à ce qu'on lui fiche la paix. Le problème étant qu'il - pas plus que le reste de la famille - ne connait pas le concept de "ne pas faire aux autres ce qu'on n'aimerait pas qu'ils nous fassent". Si bien qu'alors qu'il refusait mon aide, il se refuse à me laisser refuser la sienne.

Mais de l'aide, je n'ai jamais dit que j'en avais besoin. Près de cinq décennies déjà que tout me glisse dessus, comme si je vivais dans un monde autre que le votre. Cela n'est pas compliqué. Ou ne le serait pas s'il n'y avait pas encore quelques rares personnes auxquelles je tiens trop pour mon propre bien. Pour la grande majorité des gens que je croise, je ne suis qu'une ombre, doublé d'un con insensible incapable de montrer ne serait-ce qu'un peu d'humanité envers les autres. Et cela me va à la perfection. Ainsi, on me fiche la paix, et même les plus tenaces s'y sont cassé les dents. Ma famille en revanche, la seule chose qui sache réveiller en moi les sentiments que je dissimule depuis un demi-siècle. Ma mère qui ne cesse de me couver telle une poupée de porcelaine fêlée, mon père qui ne sait plus me parler bien que nos liens soient toujours aussi forts qu'avant. Sans oublier mon idiot de frère, la seule tête de mule plus forte que moi, qui sache me faire vider ce sac d'émotions et de souvenirs que je voudrais jeter au loin, et le seul face à qui je me permet de lâcher le lest que j'ai parfois besoin de lâcher. Avec lui je réapprend à regarder devant moi, et avec son fils, mon neveu, je réapprend à tolérer les élans de mon cœur. Car oui, de ce gamin, je suis complètement gaga, et je n'ai aucune honte à l'avouer.




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